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Tables au décor chic : un restaurant pour les grandes occasions
La liste

Brasserie L'Excelsior
Tout en courbes et volutes, cette brasserie au cadre Art nouveau de l’école de Nancy envoie plats de la mer et propositions plus terriennes qui claquent sous la lumière des grands lustres pendus au plafond. Goûtez le « Tout Nancy », un parfait glacé pimpé aux macarons.

Le Bibent
Sur la place du Capitole, ce restaurant au décor baroquissime avec moulures grimaçantes, fresques peuplées de chérubins et boiseries polychromes tient son rang depuis 1843. Difficile de résister au cassoulet maison, à s’envoyer sous le grand miroir à l’horloge.

Le Grand Contrôle
Dans l’hôtel des Airelles, qui s’est tapé l’incruste dans le château de Versailles, le Grand Contrôle la joue évidemment Grand Siècle. Signée Alain Ducasse, la cuisine haute goûture s’inspire des mets préférés du Roi-Soleil. Rejouez les fastes de l’Ancien Régime sur la table ronde.

Palais Royal Restaurant
Ce resto de viandards adoré des modeux plante ses couteaux dans un décor Art nouveau de toute beauté avec verrières et céramiques. Lové sur la banquette en velours, on se paye une tranche de bœuf de Kobé avant de reprendre son souffle avec un soufflé bien regonflant.

Beefbar
Ce resto de viandards adoré des modeux plante ses couteaux dans un décor Art nouveau de toute beauté avec verrières et céramiques. Lové sur la banquette en velours, on se paye une tranche de bœuf de Kobé avant de reprendre son souffle avec un soufflé bien regonflant.

Le train bleu
Conçu en 1900 en vue de l’Exposition universelle, ce buffet de gare au décor bluffant, tout en dorures et boiseries, constitue une halte de choix entre la capitale et la Méditerranée. Chapeautée par Michel Rostang, la cuisine voyage en première classe. Prenez la table sous les lustres !
Où croiser Djokovic ou Rihanna ? Chez Mehdi Abdelhedi, ami des stars, déjà aux manettes de César, la cantine du PSG. Avec Siena, même cuisine (« la Toscane au cœur de Paris ») mais autre clientèle, plus Fashion Week que Ligue des Champions. Prenez la pause sur la table ronde face aux banquettes.

Le Napoléon
Ouvert depuis 1813, l’ancien Café Napoléon porte beau avec ses miroirs maousses, ses lustres de cristal et ses mascarons en plâtre. Dans les assiettes, une cuisine de brasserie au garde-à-vous, pour repartir en campagne rassasié comme jamais. Montez le camp sur une table au cœur du décor Empire.
La Table Haute - La Mirande
À un jet de tiare du palais des Papes, la Mirande se planque dans un hôtel particulier aux allures d’ambassade. Ses sous-sols abritent une table d’hôtes calée au milieu d’une belle cuisine du XIXe siècle, où gueuletonner un menu provençal préparé par un chef avé l’accent.

Jean Imbert au Plaza Athénée
Le palace de l’avenue Montaigne connaît un sursaut de hype depuis que le chef Jean Imbert y prépare des turbots soufflés à ses amis Beyoncé et Jay-Z. Pour briller autant qu’eux, exigez une table sous les lustres.
Haut lieu du Tout-Paris depuis deux siècles, les légendaires alcôves de cette maison retrouvent leur faste sous l’impulsion de Moma Group, à grand renfort de velours et dorures. Pour être pépouze au Lapérouse, réservez la table du salon privé, chic et intimiste.

Public House
Tourtes, tartes et tartans, voici les éléments constitutifs de cette brasserie so chic, so british pilotée par l’Anglais Calum Franklin, surnommé « The Pie King » par King Jamie Oliver himself. Optez pour la table avec banquette en fer à cheval pour détromper vos préjugés sur la Perfide Albion.

Chez Roger
Bien planqué, le Roger ! Il faut fouiller le fond du Cotentin, entre marais et cicatrices du débarquement, pour le trouver en train de redresser sa Manche. Sur la table près des rideaux rouges, on gloutonne encore mieux la cuisine azimutée de Raphaël Hamon et Emma Carrayol.
Un bistrot racé servant une cuisine néo-bourgeoise bien dans ses mocassins. Pour des repas top secret, elle recèle aussi une salle privatisable à l’étage où l’on sonne le personnel quand on veut être servi. Idéal pour comploter la bouche pleine

Le Clarence
Près des Champs, dans un décor aussi bling qu’un château du Médoc, l’étoilé Christophe Pelé régale d’une cuisine astrale et sans menu fixe. Le meilleur spot pour en profiter ? La salle Pontac, entre lustres et boiseries. Cave dingo pour de célestes accords mets-vins.

Le Grand Réfectoire
Dans l’ancien réfectoire du Grand Hôtel-Dieu surmonté d’impressionnantes voûtes, on oublie la tambouille de jadis servie aux malades et on se soigne avec la cuisine métissée du chef Marcel Ravin. Installé au bar face aux gigantesques vitraux, l’expérience est lumineuse !
